verse.fr : Marot, Clément (1496 - 1544)




Marot, Clément (1496 - 1544)



Available works:

Sans titre (Dedans Paris, ville jolie...)
A Etienne du temple (Tant est subtil, et de grande efficace...)
A la fille d’ung Painctre d’Orléans belle entre les autres (Au temps passé, Apelles, Painctre sage...)
Au Roy, pour avoir esté derobé (On dict bien vray...)
Chanson (Changeons propos...) (Changeons propos, c’est trop chanté d’amours...)
Chanson (Ne sçay combien...) (Ne sçay combien la haine est dure...)
Chanson (Puis que de vous...) (Puis que de vous je n’ay autre visage...)
Chanson (Qui veult...) (Qui veult avoir liesse...)
Chant de May et de Vertu (Voulentiers en ce moys icy...)
Du Beau Tétin (Tétin refait, plus blanc qu’un oeuf,...)
Epigramme : De Soy Mesme (Plus ne suis ce que j’ay esté...)
Epigramme : Le Lieutenant Criminel et Samblançay (Lors que Maillart, juge d’Enfer, menoit...)
Epigramme de I’Abbé et de son Valet (Monsieur l’Abbé et monsieur son valet...)
Epigramme de Oui et de Nenny (Un doulx Nenny avec un doulx soubzrire...)
Epistre (On dict bien vray, la maulvaise Fortune...)
Epistre au Roy, pour avoir esté derobé (On dict bien vray, la maulvaise Fortune...)
Psalme de David 001 (Qui au conseil des malings n'a esté...)
Psalme de David 011 (Veu que du tout en Dieu mon cueur s'appuye...)
Psalme de David 012 (Donne secours, Seigneur, il en est heure...)
Psalme de David 113 (Enfants, qui le Seigneur servez...)
Rondeau de l’amour du Siècle Antique (Au bon vieulx temps un train d’amour regnoit...)
Sur les abus de l'Eglise (L'oisiveté des moines et cagots...)


Quelqu’un a dit des poèmes de Clément Marot qu’il n’en a jamais écrit un mauvais, et jamais écrit un grand. Son influence, en tout cas, était énorme. Ce poète fin et charmant, de style souvent conversationnel (Boileau parle de son "élégant badinage"), avait un don pour se compliquer la vie.