verse.fr : Du Bellay, Joachim (1522 - 1560)




Du Bellay, Joachim (1522 - 1560)



Available works:

Sans titre (Comme lon void de loing sur la mer courroucée...)
Sans titre (En ce moys delicieux...)
Sans titre (France, mère des arts, des armes et des lois...)
Sans titre (Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage...)
Sans titre (Quand ce brave sejour, honneur du nom Latin...)
AD LECTOREM (Quem, Lector, tibi nunc...)
Ad Lectorum (Quem, Lector, tibi nunc damus libellum...)
Annibal Carus (Viribus ingenii superset quod culmina Pindi...)
Antiquitez de Rome 01 (Divins Esprits, dont la poudreuse cendre...)
Antiquitez de Rome 02 (Le Babylonien ses haults murs vantera...)
Antiquitez de Rome 03 (Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome...)
Antiquitez de Rome 04 (Celle qui de son chef les estoilles passoit...)
Antiquitez de Rome 05 (Qui voudra voir tout ce qu’ont peu nature...)
Antiquitez de Rome 12 (Telz que lon vid jadis les enfans de la Terre...)
Antiquitez de Rome 26 (Qui voudroit figurer la Romaine grandeur...)
Antiquitez de Rome 27 (Toy qui de Rome emerveillé contemples...)
Antiquitez de Rome 32 (Esperez-vous que la posterité...)
Belaud (Maintenant le vivre me fâche...)
Contre les envieux (Les envieux me grondent de bien loin...)
Contre les petrarquistes (J'ay oublié l'art de Petrarquizer...)
De Comite Alcinoo puellam pingente (Alcinoum Comitem Formosa puella rogabat...)
D’un Vanneur de blé aux vents (A vous troppe legere...)
Epitaphe d’un petit chien (Dessous ceste motte verte...)
Regrets LXXXVI (Les) (Marcher d’un grave pas...)
Regrets XIII (Les) (Maintenant je pardonne...)
Sonnet (Flatter un crediteur, pour son terme allonger...)
Sonnet (Il fait bon voir (Paschal) un conclave serré...)
Sonnet (Je hay du Florentin l’usuriere avarice...)
Sonnet (Je ne te conteray de Boulongne, et Venise...)
Sonnet (J’aime la liberté, et languis en service...)
Sonnet (Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure, et le poinct...)
Sonnet (O qu'heureux est celuy qui peult passer son aage...)
Sonnet (Si nostre vie est moins qu’une journée...)
Sonnet (Vous qui aux bois, aux fleuves, aux campaignes...)


Du Bellay écrivait en français et en latin. Le ton personnel et son mal du pays lors de son séjour en Italie l'ont attaché aux Français. Membre de la Pléiade, il composa la "Défense et illustration de la langue française." Comme son ami Ronsard, Du Bellay souffrait de surdité.